“Pas encore enceinte?” Existe-t-il une question plus difficile à recevoir pour une femme qui tente que concevoir depuis plusieurs mois, voire années? Je ne crois pas. Ça crève le coeur, à chaque fois. 

 

Ce n’est pas parce que tu as dû répondre à la négative à cette question ou remarque que ça doit se reproduire encore longtemps. Sache-le, crois-le, ressens-le profondément. La fertilité, ça peut être complexe (ce qui ne veut pas dire compliqué), d’où l’importance d’ouvrir ses horizons, ses perspectives afin de mieux comprendre les différentes interférences liées au désir de mettre un enfant au monde. 

 

Lorsqu’on prend conscience d’une problématique, de ses différents facteurs, on est à même de mieux agir – voilà mon objectif avec cet article. Voici donc trois éléments à considérer pour améliorer ta fertilité, tes chances de maternité. Et ne t’inquiète pas, je ne te dirai pas que tu aurais dû commencer ou y penser plus tôt. Ou que tu dois perdre 15kg. À moins que tu ne sois ménopausée, tout est possible, il n’est jamais trop tard pour réaliser ce magnifique rêve. 

 

1- Es-tu toxique?

 

Ah, ah! Je sais, ça ne sonne pas super de se faire poser cette question, mais elle est importante. Je commence avec ton corps et les interférences physiques à ta fertilité. On vit dans un environnement toxique – air, eau, produits d’entretien ou pour la peau, aliments… Du toxique, en veux-tu, en v’là! On ne peut pas tout contrôler et ne pense pas que tu dois le faire, ça va te rendre folle. Toutefois, ne prends pas non plus une position de victime impuissante face à un environnement qui joue contre elle. Tu as du pouvoir, pas mal plus que tu le penses ou n’oses le croire. 

 

Si tu ne contrôles pas tout ce qui rentre par tes narines ou les ondes que ton corps reçoit lorsque tu es à l’extérieur de chez toi, tu as ton mot à dire sur la qualité de l’eau que tu bois (s’y trouve-t-il du fluor?), sur les produits que tu utilises pour entretenir ta maison, ceux que tu mets sur ta peau et les aliments avec lesquels tu choisis de nourrir ton corps. C’est toi qui décides si tu gardes ton cellulaire dans ta poche arrière, sur ta table de nuit, allumé, et si tu fermes ou non ton wi-fi pendant que tu dors. Tout ça, c’est entre tes mains que ça se passe. 

 

Tu fais des choix qui ont des conséquences sur ton corps tous les jours. Il n’y a pas à en faire une maladie si tu oublies de fermer ton cellulaire une nuit, si tu manges du junk une fois de temps en temps parce que ça te fait plaisir, si tu t’es fait tatouer ou que tu manges une tarte cuisinée dans un contenant d’aluminium. On ne vise pas la pureté – ça n’existe pas chez l’humain. Oublie ça. Toutefois, c’est important que tu prennes conscience des toxines que tu absorbes tous les jours et qui ont, clairement, un effet sur ta santé, sur tes hormones, sur ton système reproducteur. Des perturbateurs endocriniens, on tente de nous en vendre tout le temps, sous les plus belles parures qui soient (t’sais, ces belles marques de produits anti-rides de Paris, chic chic chic?). 

 

2- Es-tu toxique?

 

Bien non, je ne me suis pas trompée et te repose la question. Cette fois, ce sont tes émotions et relations qui m’intéressent ou, plutôt, que je souhaite que tu questionnes. Vis-tu des relations toxiques en ce moment? Des amies vampiriques, des parents contrôlants, une fratrie qui juge, un patron trop exigeant? 

 

Vis-tu, plus souvent qu’autrement, de la colère, de la frustration, de la honte, du blâme, de la culpabilité, de l’insécurité? 

 

Te sens-tu soutenue, aimée, écoutée, nourrie? Te positionnes-tu en victime ou plutôt en souveraine par rapport à tes défis de fertilité actuels? Sache qu’on a tous une part de victime en nous, donc pas de honte à ça. Le réaliser permet de mieux agir, encore une fois, de trouver les outils, de les mettre en place et de reprendre les rênes. Des émotions, ça se logent dans les tissus, les organes. Lorsqu’elles sont répétées, niées, c’est-à-dire que tu ne les laisses pas circuler (pas toujours évident de bien “gérer” ses émotions, de les accepter), elles agissent alors comme des toxines qui viennent désorganiser la circulation de l’énergie dans ton corps physique et donc rendre vulnérables, sensibles ou “malades” des organes liés à ta fertilité. Tout ce qui se passe en toi, des idées qui te tournent en tête aux émotions et traumatismes, a un impact sur ton corps physique. Parlant de traumatismes, lesquels se sont figés en toi? Qu’est-ce qui n’a pas été avalé? Voilà du toxique qui interfère avec ta maternité. C’est le temps de le mettre dehors!

 

3- As-tu l’espace qu’il faut pour accueillir ce bébé dans ta vie?

 

L’espace est un enjeu important, souvent oublié. Oui, on peut parler d’espace physique – une pièce dans la maison pour lui faire une chambre, une place dans la voiture pour mettre son siège. Mais l’espace, il est aussi dans ta tête et ton coeur. Je viens de te parler d’émotions et de traumatismes. Sache que tout ce qui n’est pas résolu en toi prend de l’espace, espace alors non disponible pour accueillir autre chose ou quelqu’un. Si ton coeur souffre, peut-être as-tu besoin de pardonner avant de tenter de l’ouvrir à un petit être? 

Si tu mets toute ton énergie à te frayer un chemin professionnel, à bâtir un empire, peut-être n’as-tu pas encore l’espace temps nécessaire à la maternité. Comment pourrais-tu créer un système qui te permette de ne pas sacrifier tes ambitions professionnelles et ton désir de fonder une famille? 

 

Si ta tête est pleine de croyances limitantes après avoir entendu nombreux spécialistes te dire que tu n’arriverais pas à faire un enfant, que tu es trop grosse, pas assez grosse ou forte, que tu as entendu les pires histoires de fausses couches à répétition, que tes réseaux sociaux sont saturés d’expériences négatives ou conditionnelles (ça ne fonctionne que si) des autres, comment penses-tu qu’elles ont un impact sur la réalité que tu co-crées avec l’Univers? Quel message envoies-tu avec de telles croyances? 

 

C’est le temps de faire le grand ménage, dans ta tête, ton cœur, ton corps. Prends conscience de ce que tu portes sans le juger et commence à agir, un élément à la fois. Ne néglige pas l’impact cumulatif que de petits gestes peuvent avoir. Ne néglige pas non plus l’impact d’actions holistiques. C’est bien d’avoir un avis de médecin traditionnel, mais sa médecine est limitée. Vas chercher d’autres spécialistes qui peuvent compléter, expliquer différemment, voir d’un autre angle ce que tu vis. Des angles morts, on en a tous. 

Je t’invite à plonger avec cette vision énergétique dans ta problématique grâce à mon mini-programme sur la fertilité. Il va t’aider à mieux comprendre et à agir aussi pour optimiser tes chances de réussite. Ça te parle? Inscris-toi ici